(their) envelopes
in Emmanuel Doutriaux, Conditions d'air: politique des architectures par l'ambiance, metispresses, p. 30
le milieu aéraulique comme milieu d’échange, enclin à la porosité. Revenir à l’air c’est se ressaisir de cet enjeu [politique] premier de liberté [cette sortie « à l’air libre » hors du matriciel] et de l’enjeu [architectural] de la perméabilité [ce jeu des échanges] qui lui est associé. Dans la relation d’assimilation aux fluides, nécessaires à sa constitution et sa permanence, l’homme n’est plus dans ce monde d’existences, au mieux contigües. Il est dans la continuité. (…) Le sujet et les choses, les choses entre elles, sont en relation d’interpénétration: non plus l’un et l’autre, l’un et l’une, l’une et l’une, proches au sens du « en contact », « près de », « assemblées dans »… mais proches selon un mode de perméabilité de leurs enveloppes qui exige de penser un autre rapport à l’espace-temps. [Irigaray 1938: 78-79]
the aeraulic medium as a medium of exchange, prone to porosity. To return to the air is to seize again this first [political] stake of freedom [this exit "in the open air" out of the matrix] and the [architectural] stake of the permeability [this play of exchanges] which is associated to it. In the relation of assimilation to the fluids, necessary to his constitution and his permanence, man is no longer in this world of existences, at best contiguous. He is in continuity. (...) The subject and the things, the things between them, are in relation of interpenetration: no more the one and the other, (...) close in the sense of "in contact", "close to", "assembled in"... but close according to a mode of permeability of their envelopes which requires to think another relation to the space-time.